La démocratie et la République, les deux violées de la France

 

La première n’existe plus, après avoir été bafouée par des aménagements de la constitution et des lois électives. La deuxième a perdu son sens, Res Publica, la chose publique. Son viol a donné naissance à la Res Oligarchica, un club restreint de manipulateurs de tous bords, politiciens véreux, hommes d’affaires corrompus et corrupteurs.

La France est abandonnée par ses pairs, livrée par ceux là mêmes qui devaient la défendre, aux hordes mondialistes et « européistes » qui s’abreuvent de son histoire et de ses richesses matérielles et spirituelles, dépouillant son peuple amorphe, intoxiqué et abruti par les médias.

Nos vieux disaient qu’il fallait une guerre tous les cinquante ans pour que le monde tourne normalement, c’était une sorte de cycle qui permettait de reconstruire après le déluge de feu et de sang. La France a survécu à tous ces cycles et en est sortie souvent grandie par le courage de son peuple. La France a surmonté ses épreuves pour la démocratie dans la République.

 

La France, filles des civilisations grecques et romaines, est bafouée comme ces mêmes républiques antiques, sans respect, au mépris de son peuple que l’on veut réduire en esclavage comme cela est fait pour ses parentes.

Mais l’ennemi, cette fois ci, est dedans, à l’intérieur mais aussi à l’extérieur, l’attaque est double. Les ennemis d’avant-hier devenus amis d’hier l’ont maintenant trahie au nom d’un super état européen nait dans l’esprit de quelques technocrates, manipulés par des intérêts pécuniaires, sans âme. Mais pire, ce même super état européen n’est que le valet de la mondialisation des économies. Ces associations d’intérêts, construites au mépris de l’avis des peuples qui se sont exprimés négativement sur le sujet par des votes référendaires, continuent leur œuvre de sape de notre France.

Cette fois, la lutte sera plus dure car à la guerre s’ajoute la trahison de l’intérieur. Mais la France a déjà connu cette situation, dans la première moitié du siècle dernier en 1940. Les manipulateurs sont d’ailleurs issus des mêmes lignées, ne voyant que le profit pour seul but dans leur vie. Mais les vieilles recettes sont toujours les meilleures et comme la résistance d’antan, celle d’aujourd’hui doit s’organiser rapidement, et que ceux qui ne sont pas encore endormis réveillent les autres, pour redonner à notre France sa Démocratie et sa République, afin qu’ainsi elle entraine, comme par le passé, tous les peuples du monde sur cette voie choisie par eux seuls.

 

D.SORY